Avant même la naissance, les futures mamans peuvent offrir à leur bébé de meilleures conditions de départ. Les nutriments, les oligo-éléments et les produits du métabolisme parviennent au bébé via le placenta et le cordon ombilical et veillent à ce qu’il se développe de manière optimale.
Les hormones de stress, les poisons du plaisir et autres peuvent également pénétrer dans l’enfant et déclencher des processus qui peuvent être à l’origine de maladies chroniques ultérieures. Heureusement, les femmes enceintes peuvent influencer la santé de leur enfant.
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Faites attention à votre poids
Saviez-vous que les femmes enceintes peuvent influencer la santé de leur enfant ? Trop de kilos sur la balance peuvent programmer le bébé à une suralimentation déjà dans le ventre de sa mère. Voici ce que vous devriez surtout garder à l’esprit si vous luttiez déjà contre les kilos avant votre grossesse :
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- Les médecins savent aujourd’hui qu’un surplus alimentaire permanent programme l’enfant à naître à une suralimentation.
- Les capteurs hormonaux du cerveau de l’enfant sont mal étalonnés et sécrètent de grandes quantités d’insuline.
- Ils considèrent cette abondance comme normale, ce qui se répercute sur la sensation de faim du bébé. Cliquez ici pour l’info.
Ces petits gourmands risquent de développer eux-mêmes plus tard un surpoids. Ils risquent d’avoir des maladies secondaires telles que l’hypertension, l’augmentation des lipides sanguins, le diabète et les maladies cardio-vasculaires.
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Contrôlez le sucre
Entre la 24e et la 28e semaine de grossesse, il faut effectuer un test d’effort pour détecter le diabète. La plupart du temps, il est asymptomatique et dans 90% des cas, il n’est pas détecté. Pourtant, le diabète gestationnel peut avoir des effets sur l’enfant similaires à ceux de la suralimentation. Dans ce cas, le métabolisme du sucre de la mère et donc du bébé est perturbé. C’est pourquoi les experts recommandent de faire un test de charge en sucre entre la 24e et la 28e semaine de grossesse.
Ce test n’est pas une prestation obligatoire des caisses d’assurance-maladie, mais certaines le remboursent depuis peu. Il vaut la peine de se renseigner, ainsi :
- Outre une alimentation correcte,
- l’exercice physique a une influence positive sur le taux de glucose.
- Les promenades, la marche, la natation ou le vélo sont bénéfiques pour vous et votre bébé. Il suffit de 30 minutes cinq fois par semaine.
Évitez le stress
Le stress permanent, surtout en fin de grossesse, peut avoir des répercussions sur le psychisme de l’enfant. Un peu de stress quotidien de temps en temps, cela ne perturbera pas votre petit. Mais si le taux d’hormones de stress de la mère est durablement élevé, en particulier au cours des dernières semaines de la grossesse, le fœtus considère cela comme normal. Il se peut alors que les enfants soient plus tard plus anxieux et plus sensibles au stress.
- Leur corps sécrète davantage de cortisol.
- Un taux trop élevé favorise l’apparition d’une dépression, car la sérotonine, qui améliore l’humeur, est supprimée
- Il vaut mieux s’accorder suffisamment de sommeil et de pauses
- Les réseaux neuronaux du cerveau de l’enfant peuvent alors mûrir sans être perturbés.